rencontre et maladresses

Mio contemplait la mer depuis pas mal de temps déjà. Le teckel de l’orphelinat courait sur la plage depuis maintenant 2 heures, mais elle s’en fichait éperdument pour le moment. Elle écoutait la mer, et en profitait un maximum, puis que ses oreilles avaient décidé de lui laisser entendre le bruit des vagues aujourd’hui. Ses yeux bleu-clairs fixaient le ciel, qui commençait à se prendre des couleurs pourpres, sans pour autant le remarquait. Elle était perdue dans ses pensées et surtout dans ses souvenirs.

Sa main se ferma sur une lettre, qu’elle avait récupérée à la poste. Le papier était déjà bien froissé à force d’être plier et déplier. L’écriture ne faisait aucun doute, il s’agissait d’une lettre de son frère adoptif. Celui-ci lui donnait des nouvelles de la famille, qu’elle avait eu pendant une année. Ces dernières n’étaient plutôt bonnes sauf une. Que pouvait-elle faire pour eux du haut de ses 12 ans à par attendre et prier ? La réponse était simple, rien. De par son statue d’humaine, elle ne pouvait rien faire pour les vampires qui l’avait élevé pendant une année entière.

Son visage était soucieux mais très vite de l’amusement s’y peignit. Le teckel avait sauté sur son ventre et commençait à lui lécher le visage. Elle réalisa alors qu’il se faisait tard, la nuit n’était pas encore tombée mais on voyait déjà des étoiles scintillées sur la voûte céleste. Elle se releva et remit sa robe en place. La lettre fut encore une fois dépliée et relut avant de s’envolée vers l’horizon.

*Tu ne peux strictement rien y faire Mio Nowaki..*

Elle commença à courir sur la jetée en direction de la ville mais elle s’étala de tout son long, faisant tomber le paquet de lettres destinées aux pensionnaires de l’orphelinat.

« Aie ! C’est bien ma veine. »

Mio s’assit par terre et se massa la nuque et le front. Elle s’arrêta brusquement de le faire lorsqu’elle découvrit la silhouette d’une personne. Soit le chien n’avait pas aboyer, soit elle ne l’avait pas entendu, car le teckel avait l’habitude d’aboyer pour un rien.

Mio dévisageait avec surprise le jeune homme. Il s’appelait donc Haruhi, elle fut soulagée de constater que son ouie ne lui avait pas fait défaut. Elle n’arrivait pas bien à voir son visage car ce dernier était caché sous une capuche.

*Pourquoi tant de mystère?*

La jeune fille de douze ans se releva lentement pour ne pas perdre de nouveau l’équilibre et regarda avec bien veillence le jeune vampire, qui avait l’air essoufflé..

« Bonsoir. Moi c’est Mio.»

Un petit sourire se peignit sur son visage enfantin. Elle était soulagée mais en même temps un peu soucieuse à cause de l’arrivée fracassante de l’adolescent. Elle supposait qu’il s’agissait d’un garçon par son gabarit et sa taille. Elle ramassa le paquet de lettre et tendit la main au nouveau venu.

« Excuse-moi d’avoir réagit bizarrement à ton arrivée. Je ne m’attendais pas à voir quelqu’un arriver à la plage à cette heure de la journée. Je suis ravie de vous rencontrer Haruhi. »

Ses yeux remarquèrent que le manteau s’élevait beaucoup plus rapidement que d’ordinaire. Lorsqu’on respire les vêtements suivent les mouvements du corps, d’un mouvement lent et régulier. Cependant le manteau de son interlocuteur suivait un mouvement saccadé et irrégulier.

« Je sais que cela ne me regarde pas, mais….. est-que tout va bien ?……… Votre respiration est saccadée, vous me donner l’impression d’avoir couru. »

Son visage était empreint d’inquiétude pour Haruhi. Pourquoi courrait-il ? Etait-il poursuivit ? On comprenait que la jeune fille s’inquiétait réellement et qu’elle le vouvoyait par obligation. On lui avait enseigné de vouvoyer les inconnus jusqu’au moment où ils lui demandent de les tutoyer. Ce qu’elle faisait avec difficulté entre adolescents. Elle ne remarqua pas que le teckel avait disparu en sentant la différence de nature entre humain et vampire.

Haruhi ne savait pas trop où se mettre après tout ça .Que devait t’elle pensait de lui maintenant? Surtout que l’aspect mystérieux et peut rassurant que lui donner sa cape n’arrangeait rien à l’affaire. Quoi qu’il en soit il tacha de faire bonne figure. Avec elle il serait sûrement en sécurité, ces hommes ne voudrais quand même pas s’attaquer à une fille humaine. Mais malgré ce sentiment de sécurité sous cœur battait toujours à 100 à l’heure , sûrement parce qu’il avait beaucoup courut et aussi el plus vite qu’il ait put courir.

Il tourna la tête vers la fille à coté de lui qui se présenta. Elle s’appelait donc Mio. C’était un très jolie prénom, il lui allait bien en tout cas. Moi s’excusa ensuite pour son attitude et lui tendis la main. Haruhi l’a prit et l’a lui serra.

Tu n’as pas à t’excuser tout est de ma faute je n’aurais pas dut arriver comme ça….

Il décida d’enlever sa capuche . De toute façon ils pensait , du moins il espérait avoir semer les hommes qui voulaient le tuer. Et puis elle ne lui servait plus à rien car ces hommes l’avaient reconnus même avec sa capuche sur la tête, ce qui était plutôt étonnant même… Il tachait de ne pas trop parlait pour ne pas que Mio remarque qu’il était essoufflé et qu’elle se pose d’ava de questions sur lui ce qu’il ne voulait surtout pas. Il ne voulait pas l’effrayer elle semblait si gentille.

Mais Mio le remarqua quand même…Mais ce n’est pas ce qui le surprit le plus. Ce qui l’étonna ce qu’elle lui demande s’il il va bien. Il était tellement étonné qu’il tourna la tête d’un coup et l’a regarda dans les yeux d’un air étonné, tout en rougissant très légèrement.
Elle l’avait peut-être vouvoyé mais cela lui faisait tellement plaisir que quelqu’un s’inquiète pour lui. Il en s’y attendait pas du tout.

Je…merci de vous inquiéter pour moi mais tout va bien, j’ai juste courut un peu.

(c'est Mio pas moi. masi ça fait rien. )

Mio n'entendit pas très bien l'excuse de Haruhi, mais le ton avait suffit. Quand ce dernier rougit en la remerciant de sinquiéter pour lui, elle rit légèrement et très aimablement.

"C'est tout naturel de s'inquiéter pour les autres, vous savez. Si on ne le fais pas qui se soucierait de son entourage et de ses problèmes."

Elle vit un homme s'arrèter derière Haruhi un marteau à la main. Il s'était figé en la voyant. Elle regarda avec un peu plus d'attention le jeune homme. maintenant qu'il avait enlevé sa capuche elle remarquait que son tein était légèrement plus pale que la moyenne. Prit d'un réflexe de protection et de survie, elle prit de force le poignée de haruhi se forçant ainsi à la suivre en ville, là où les hommes, car il ne pouvait pas y en avoir qu'un, ne pouvaient pas les attaquer. Au cas où la scène ne marcherait pas elle parla plus fort que de coutume pour raconter tout et n'importe quoi.

" Allez, il faut se dépècher sinon on va se faire gronder par le père supérieur. Et puis les autres attendent leur lettre. Tu te rends compte, les orphelins de Taîwan, ont répondu à nos lettres c'est génial! Les autres vont être vraiment au anges."

Sans continuer d'avancer elle regarda derière elle. l'homme urlait quelquechose mais il ne comprenait que peut de mots: démon......enfer.......mort........ Elle détourna les yeux et pénétra aucoeur de la ville. Là elle ferma les yeux et remarqua que le poigné qu'elle tenait au plustôt tirait était froid, bien plus froid que l'air ambiant.

"......froid......."

Elle sortit de cette constatation en sentant un choc vilent la percuter au genoux. Elle perdit de nouveau l'équilibre, lacha Haruhi et se tordit la cheville en se ratrapant à une devanture de magasin. Elle regarda sa jambe endolorie, un très léger filet de sang coulait un niveau du genou. Par réflexe elle enleva son ruban de ses cheveux et l'enroula au dessus de la blessure.

"je suis désolée d'avoir été si familière à l'instant. Mais quelquechose m'a fiat penser que cette personne....... nonrien. Laissez tomber. "

Ses cheveux tombant, encadraient son visage qui regardait toujours le sol. Elle chuchota une question qu'un humain n'aurait suement pas entendu.

"Il n'est pas le seul n'est pas?"

[Désolé faute de frappe^^']

Haruhi regardait Mio qui lui disait que c’était normal qu’une personne s’inquiète pour vous. Évidemment pour elle c’était normal. Les humains ne pouvaient pas comprendre ça. Depuis sa naissance ces parents avaient jamais manifesté le moindre signe de tendresse. Tout ce qu’il voulait s’était qu’il devienne digne de la noble famille auquel il appartenait et digne d’être un vampire. Même entre vampire il était rare qu’on se parle, les vampires sont de grand solitaire c’est bien connus.

Après qu’il eu enlevé sa capuche Moi le regarda curieusement puis soudain lui attrapa le poigné sans qui puisse savoir pourquoi puis elle commença à parler de lettre et d’orphelins, Haruhi n’y comprenait rien du tout.

* Qu’est-ce qu’elle mijote?*

Haruhi avait un peu du mal à la croire sur le coup mais il entendit la voix de l’homme qui le poursuivait tout à l’heure alors il comprit tout de suite, elle avait voulut le protéger. Après avoir bien courut ils arrivèrent en centre ville. Ils pensèrent sûrement qu’ils étaient à l’abri ici mais non Mio se blessa à la jambe.

Mio!…Ça va?

Après qu’elle ait noué son bandeau autour de sa plaie il l’a prit dans ces bras. C’est alors qu’elle lui chuchota quelque chose à l’oreille. Haruhi ne répondit pas , ce n’était pas le bon moment pour des explications, pour le moment il fallait fuir.
Ils arrivèrent quelques minutes après dans la demeure des Kirishima. Haruhi l’a fit allongé sur le canapé et alla chercher de quoi la soigner. Une fois revenu il désinfecta la plaie et la lui banda.

Je suis désolé de t’avoir entraîner dans tout ça. C’est de ma faute…Si tu as des questions tu peut me demander mais tu ne devras dire ça à personne, c’est très important.

(excuse acceptée )

Mio était très touchée par les soins que lui portait Haruhi. Elle n'était pas abituée à ce qu'on la pouponne et la protège. C'était plutôt l'inverse en fait. Elle souriait toujours quelque soit les circonstances, ne pleurait devant personne, réconfortait et soignait, mais elle refusait toute affection à son égard car elle avait peur. Peur de se réveiller et de comprendre qu'il ne s'agissait que d'un rève, peur de se retrouver de nouveau seule. Des larmes commençaient à s'entasser aux coins de ses yeux.

"Ce n'est pas ta faute.... c'est moi et moi seule qui ai choisi de t'aider pas l'inverse."

Des larmes traitresses tombèrent sur ses mains qui tremblottaient légèrement.

"Je suis désollée d'avoir écourté ta soirée. Je ne compte pas parler de ce qui c'est passé ce soir. De tout façon cela peu arriver à n'importe qui. "

Elle tenta de sècher ses larmes du rever de sa main.

"Et puis si jamais quelquechose te tracasse, tu n'as qu'a venir me rendre visite à l'orphelinat d'accord."

Elle lui sourit tendrement. Elle se sentait mieux depuis qu'elle avait repris son rôle de "maman".

Elle se frappa le frond de la paume de la main.

"suis-je bète? Je t'ai vouvoyé jusqu'au petit problème de la plage et maintenant je te tutoie comme si on se connaissait depuis loingtemps. Je suis vraiment irrécupérable."

Un sourire amusé et en même temps désolé avait pris la place du sourire "maternelle" réconfortant. Cela devait faire bisard, voir l'affection casi maternelle faire place au visage d'une gamine de douze ans, ce qu'elle était.

Haruhi avait finit de soigner la plaie de Moi. Il était vraiment désolé pour elle. Après tout même si elle lui disait que ce n’était pas de sa faute à lui mais de sa faute, il savait bien qu’elle ne disait cela que pour le rassurer. Après tout, qui est-ce qui était rester avec elle alors qu’il savait qu’il était en danger , c’était bien lui. Et après elle s’était retrouvé impliqué dans son histoire et s’était blessé. Heureusement la plaie n’était pas profonde donc ça aller. Il n’osait même pas imaginer ce qui serait arriver si elle aurait été blesser plus gravement et qu’elle en mourrait.

Néanmoins il devait la remerciait quand même car mine de rien si elle n’avait pas été là à ce moment là et si elle n’avait pas pris cette initiative de la l’attraper et de s’enfuir avec lui , il ne serait sûrement plus de ce monde à cette heure là.

Il s’apprêtait à la remerciait pour lui avoir sauver la vie mais il vit des larmes coulait sur le visage de Moi . Il en fut très étonné et se demanda pourquoi elle pleurait. Etait-ce pour ce qui venait d’arriver? Haruhi espérait que ce n’était pas pour ça. Déjà qu’il se sentait coupable de sa blessure si en pus elle se mettait à pleurer il aller vraiment désespérer. Il s’approcha un peu plus d’elle pour prendre ses mains dans les siennes et la regarda dans les yeux d’un regard doux.

Tu n’as pas à t’excuser, ce que tu as fait était vraiment courageux , je t’en remmercit. Cela m’as beaucoup touché tu sais; si tu n’avait pas été là je serait mort sans aucun doute. En fait je te doit la vie, si il y a quoi que ce soit que je puisse faire pour toi, dis le moi, j’aimerais te remercier.

Il s’arretta puis repris :

Ah oui… Tu peux me tutoyer si tu veux ça ne me dérange pas.

Il lui sourit et la regarda.

[Désolé pour l'attente mais pour la peine j'ai fait un post long ^^]

( Tu es revenu!!!!! ou est la bouteille de champagne??? Je suis contente de te revoir et je t'escuse bien volontier étant donner que j'ai moi ausi été absente pendant un long moment.)


Mio avait son regard plongé dans celui de Haruhi et se calmait peu à peu. Les paroles qu'il lui disit l'appésaient mais elle eut peur qu'il ne comprène pas très bien pourquoi elle pleurait. Lorsqu'elle entendit qu'elle pouvait le tutoyer, elle lui rendit son sourire.

" Je suis vraiment contente de t'avoir encontré Haruhi. Cependant je voudrais que les choses soit bien clair. Je n'ai pas fait ça parce que......."

Elle désigna du menton et du regard, la pièce dans laquelle ils se trouvaient tous les deux. Ele était spacieuse, finement décorée, remplit de meubles victoriens, d' un piano à queue qui tronnait au centre de la pièce et d'objet de valeur. A ces yeux l' argent n'avait aucune valeur, ce que beaucoup de gens n'arrivaient pas à comprendre. Elle reprit en regardant gentiment Haruhi.

"....... j'aurais fai ça pour n'importe qui. Cependant je crois que tu exagère quand tu prétends que tu me dois la vie. De plus je veux que tu comprène que ce n'est pas à cause de toi et de ce qui c'est passé, enfin si un tout petit peu, que je pleurait. c'est juste que je n'ai pas l'habitude que l'on soit u petit soin pour moi et que j'ai l'impression de déranger les autres à cause de ma maladresse."

Elle posa une de ses mains sur le bandage qui lui recouvrait le genoux et regarda ce dernier.

"Je voudrais aussi que tu ne dises rien aux autres, au sujet de.........ce donc je viens de parler."

[Désolé pour l'attente mais je n'avais pas du tout d'inspiration -_-']

Haruhi écouta Moi sans l’interrompre. Celle-ci essayer de lui démontrer qu’elle n’avait pas fait ça uniquement pour lui et qu’elle avait pleuré car elle n’avait pas l’habitude que quelqu’un lui accorde autant d’attention. Pour lui, peut importe les raisons qu’il l’avait poussées à le sauver, il était juste touché par son geste et ce qu’elle lui dit après le toucha beaucoup. Après tout, il n’y a pas que les vampires qui connaissent une vie difficile…..

Haruhi aurait bien aimé en savoir plus sur elle mais il ne voulait pas la déranger et puis après elle aller sûrement lui poser des questions sur lui et il serait obligé de mentir sur certaine chose car il ne pouvait pas lui révéler qu’il était un vampire. Pourtant il en mourrait d’envie, après tout elle était si gentille et compréhensive , il était quasiment sur qu’elle l’accepte tel qu’il est.

Haruhi n’avait pas honte d’être un vampire, au contraire mais les humains ont peur des vampires et il reste une chance pour que si il lui révèle son secret elle s’enfuit en courant. En même temps il ne pouvait pas continuer à lui mentir tout le temps, il décida donc de lui dire la vérité, après il lui faisait confiance pour sa réaction.

Tu n’as pas à te justifier tu sais….En tout ça me touche beaucoup ce que tu dis.

Il s’arrêta un petit moment de parler puis reprit plus sérieusement.

Mio…connaît tu l’existence des vampires?.... Tu dirais quoi si j’en était un?

Il lui sourit légèrement et la regarda dans les yeux.

Mio resta un moment sans rien dire elle n'était pas sure de bien avoir comprit ce que Haruhi venait de dire. Si ses oreilles et ses yeux ne lui avait pas jouées un tour, ce dernier lui avait demander ce qu'elle ferait si jamais elle découvraitl'existence des vampires et aussi le fait qu'il en soit un. Bah d'un coté, la question était stupide mais en même temps très pertinante.

Elle éclata de rire en voyant le visage concentré de son ami, et lui sourit malicieusement.

"Ca expliquerait certaines choses."

Elle réussit à se calmer, mais une partie de son être avait peur. A la question: connais-tu l'existence des vampires? La réponse était oui. Oui elle connaissait leur existence, oui elle avait vécu avec certains d'entre eux pendant un moment, oui elle savait que certains de ces derniers ne faisaient aucuns mal aux humains. Mais elle en avait malgré tout peur. Haruhi était-il un vampire? Ou alors un de ses hommes qui les pourchassent? Le souvenir de l'homme armé d'un marteau s'instala dans son esprit. Haruhi ne pouvait pas être un de ces hommes. Elle devait en être sure.

" Et toi.... Que ferais tu si cela était la cas ?"

Elle regardait intensément de ses yeux bleu, son visage à quelque sentimètres de celui de son ami. Elle avait peur des vampires comme tout humain qui se respecte, mais jamais elle ne tournerais le dos àce dernier si il se trouvait dans ce cas. Il lui avait prouvé qu'on pouvait lui faire confiance, car depuis qu'ils étaient seuls, jamais il n'avait essayé de la mordre et il l'avait même soigner malgré le sang.

"Oh et en quoi? Dis-moi en quoi caché son visage, en sortant tous les soirs, sous une grande capuche, afin de ne pas se faire reconnaître, est plaisant? Car moi j'ai du mal à voir cela de cette manière."

Son visage était toujours affectueux mais plus ferme. Ainsi donc son ami était un vampire. Il ne lui avait pas dit de but en blanc mais le fait qu'il ait utilisé le mot "humain"……. Bon nombre d'individu utilisait et utilise ce mot sans en connaître le sens, et les vampires faisaient de même. Pour eux humain devait s'écrire avec un H majuscule, car la façon donc il prononçait le mot donnait l'impression qu'il considérait les non-buveurs de sang comme une espèce distincte. Son ami voulait changer le point de vue des humains sur les vampires. Et puis quoi encore. Cela était impossible, car trop de vampires avaient détruit, pillé, saccagé, incendié des villes dans le temps. Et cette peur s’était transmise et était restée enfouie en chaque individu. En voyant le visage déterminé et rêveur de son ami Moi ne put s’empêcher de se remémorer une discussion, qu’elle avait eu avec un membre de son ancienne famille adoptive avec laquelle elle gardait contact. Elle fit une chiquenaude à Haruhi et se remit confortablement en place sur le canapé.

" Reviens sut terre. Pour bon nombre d’humains, les vampires sont des êtres assoiffés de sang et de destruction. Et on ne peut pas les blâmer, vu les faits historiques dans lesquels les vampires sont impliqués. Il est vrai toute fois que certains d’entre eux sont différents. "

En disant cela elle posa de nouveau sa main sur son bandage. Allait-il comprendre qu’elle avait compris qu’il en était un.

" Ce dont tu rêves n’arrivera jamais. Même moi qui ne suis âgée que de 12 ans je sais ça. Les vampires n’arriveront pas à vivre sans le cacher c’est inévitable. Te rends-tu compte que tu viens de risquer gros, là ? Si je n’étais pas déjà au courant de votre existence et ouverte à tous ces trucs, soit en gros comme toute personne normale qui se respecte, je serais partie en courant, tel une idiote, tout en hurlant ton secret. Je suis persuadée que si j’avais eu cette réaction tu ne m’aurais pas arrêté. Après tout, qui croit encore aux vampires ?"

Elle regarda Haruhi fermement le visage sévère. Plutôt comique comme situation une gamine de 12 ans qui fait la morale à son aîné et de surcroît un vampire.

" Les humains sont étranges. Chaque personne a un caractère qui lui est propre mais tout le monde évite ce qui lui est différent. Que l’on soit vampire ou autre. La seule différence entre les hommes et les vampires, est que ces derniers peuvent se permettre de s’isoler du monde. Les autres ne le peuvent pas, et doivent faire face comme ils peuvent. "

Tout en disant cela Mio ramena une mèche de cheveux derrière son oreille. Elle avait recommencé à blablater en faisant une comparaison entre sa vie et celle des vampires. Pour ceux qui ignoraient son problème son discours n’avait aucun sens. Elle se leva et vint à la fenêtre pour observer la lune et se remémorer, des souvenirs.

" Le plus drôle c’est que les vampires peuvent-être plus humains que des Humains eux-même….. La pleine lune est magnifique. C’est une nuit idéale pour aller chasser."

Mio ne semblait pas convaincue que c’étai bien d’être un vampire, elle ne voyait qu les défauts, mais c’est normal car elle n’avait jamais vécu l’expérience, seul quelqu’un qui a vécu ça peut comprendre.

Je n’est pas dis qu’il n’y avait que des avantages à être vampire. Toi tu ne voit que les défauts être vampire c’est être libre de faire ce que l’on veut. On se sent plus fort et plus sur de soi et aussi on découvre une nouvelle satisfaction., celle de prendre du sang. Après il y a ceux qui contrôle les envies et ceux qui laisse court à leur instinct.

Mio lui dit ensuite de redescendre sur terre qu’il ne pourrait jamais changer l’opinion qu’ont les humains des vampires car les vampires avaient déjà commis tant de crimes alors il faudrait vraiment un miracle pour qu’il se mette à dire que es vampire sont gentils. Il faudrait aussi que tous les vampires soient pacifique ce qui n’était pas le cas car la moitié des vampires ne l’était pas.

Je sais que c’est un peu prétentieux mais au moins si j’arrive à convaincre un ou deux personnes que les vampires ne sont pas tous méchants se serait bien.

Mio lui fit réaliser l’ampleur de cette révélation qu’il venait de faire et l’impact qu’il y aurait put avoir sur lui et les autres vampires. C’était sûr, il avait prit un gros risque mais en même temps il savait qu’elle ne dirait rien.

Tu me connaît mal…si tu avait tenter de t’enfuir pour révéler mon secret je t’aurais tuer sur le sang ou transformer en vampire dans le meilleur des cas. Je l’ai déjà fait, mais je suis content de voir que je n’aurais pas à le faire avec toi car tu es quelqu’un de bien.

C’est vrai qu’Haruhi se montrer toujours extrêmement sociable avec les personnes qu’il aimait bien et qui se montrer sympa avec lui. Mais avec les autres humains il n’était pas le même, c’était comme son opposé.

Je suis gentil envers toi uniquement parce que tu l'es avec moi.

Mio se dirigea ensuite vers la fenêtre pour regarder la pleine lune et lui dit que c’était un bonne soirée pour chasser.

Il faut mieux qu’on ne retourne pas dehors, c’est trop dangereux. Si tu veux tu peut passer la nuit ici.

Mio avait lu sur les lèvres de son ami qu’être un vampire était synonyme de liberté. Peut-être cela était vrai après tout. Mais le fait de boire du sang, ça elle n'arrivait pas à s'en faire. Comment pouvait-on trouver une satisfaction à boire le sang d'un autre? Un frisson la prit lorsqu'elle se rappela que, quand elle était petite, elle avait tendance à sucer son sang lorsqu’elle se blessait.

Elle avait été trop occuper à faire son sermon pour faire attention à la réplique de haruhi. Elle avait, ainsi, involontairement évidé de mourir de peur, en apprenant que ce dernier avait déjà ôté au minimum une vie humaine.

Mio fit le reflet de Haruhi bougé dans la vitre et entendit la voie de son ami comme une voie étouffée, un chuchotement. Instinctivement, elle porta sa main à son oreille et joua avec elle. Elle enviait son ami, car celui-ci avait eu le courage de lui dire son secret. Allait-elle le faire à son tour ou non?

"Je crois que je n'ai pas vraiment le choix."

Elle se tourna vers son ami vampire et le regarda dans le blanc des yeux.

" T'es vraiment curieux comme ga. Tu me balance uniquement ton secret car je suis gentille avec toi. Je t’envie, tu sais."

Elle alla rejoindre son ami et le fit s’asseoir sur le canapé. Il fallait qu’ils discutent mais elle ne savait pas comment lui dire, ni par où commencer. Elle ne s’était jamais confier à quelqu’un. Son sourire et son air heureux y étaient pour quelle que chose. Tout le monde la voyait heureuse mais en réalité elle souffrait et ne voulait déranger personne.

"Même un humain qui connaît l'existence des vampires à du mal à l'encaisser. Tu ne te demandes pas comment j'arrive à accepter aussi facilement cette différence entre les buveurs de sang et les non-buveurs? Ni comment je connais votre existence ?"

[Désolé c'est un peu court mais j'ai pas trop d'inspiration ^^']

Mio semblait bien prendre le fait qu’il lui est révélé qu’i n’était pas toujours aussi gentil qu’il pouvait l’être avec certaines personne. C’est vrai que venant de lui qui était si sociable et souriant il était difficile d’imaginer qu’il puisse être froid, insensible et même tuer quelqu’un. Mais pourtant cette partie d’ombre faisait partie de lui-même. C’était aussi pour ça que c’était disait qu’il était lunatique. Car il pouvait changer du tout au tout de caractère selon la situation et la personne avec qui il se trouve.

Quoiqu’il en soit le fait que Mio l’accepte comme il est le rassura, il pourrait continuer à être son ami bien que pour certaine personne humain et vampire ne peuvent pas être amis, c’est vrai qu’iil reconnaissait qu’il il avait une barrière entre humain et vampire mais elle n’est pas infranchissable.

Néanmoins tous ceux qu’il sympathise avec les vampires finissent par en devenir un surtout lorsque la relation qui les unit est très forte. Mais là ce n’était juste que de l’amitié, il la trouvait très sympa mais il aime déjà quelqu’un.
Moi lui dit qu’elle l’enviait de lui révéler son secret juste parce qu’il la trouvait sympa. C’est sur que cela demandait du courage mais il avait surtout confiance en elle, il savait qu’elle ne le trahirait pas.

Il resta sans rien dire. Mio le fit ensuite s’asseoir sur le canapé et le regarda dans les yeux. La question qu’elle lui posait était assez étrange. Il y réfléchit puis finit par dire :

Tu ne connais pas d’autre vampires par hasard?

(Pas grave. Je trouve que tu as un sacré courage pour continuer à répondre aux messages un peu loufoque que je poste alors tu peux prendre autant de temps que tu le souhaite pour répondre;)


"Bonne déduction,inspecteur. Vous aller bientôt devenir commisaire de brigade si vous continuer comme ça."

Un sourire illuminait son visage an disant cela. Biensur qu'elle connaissait d'autres vampires, et des bons en plus, sinon pourquoi n'était-elle pas partit sur le champs lorsqu'elle avait appris la vérité sur Haruhi? Au final son ami n'avait pas eu besoin d'aller chercher très loin, pour obtelir une partie de la question.
Elle reprit ses esplications avec plus de calme et de sincérité.

" J'ai vécu une année entière avec des vampires, sans même le savoir. Tu n'imagines pas le choc que j'ai eu, en les retrouvant 2 ans plus tard, tel que je les avais laissé. Si on peut dire ainsi dire ça. Je suis rester trois semaines dans le brouillard à assimiler l'information et la comprendre. Je me doutais bien qu'il y avait quelquechose, mais pas à quelque chose d'aussi gros. Bon sens comme j'ai été idiote et ingrate à cette époque. Lorsqu'ils sont repartis je ne les ai même pas salué. Je suis resté sur le bord de la route, à les regarder s'éloigner jusqu'à ce qu'ils disparaissent complètement à l'horyzon."

Son visage si doux quelques minutes au paravant avait, au court de son esplication, prit un air triste rempli de remorts. Mais elle se reprit très vite ne voulant pas être réconforter.

" En réalité, ses personnes ont été les seuls à m'accepter telque j'étais: une éternelle maladroite au grand coeur avec son petit problème."

A ses mots, Mio ne put s'empècher de toucher son oreille et de remetre en place une mèche de cheveux derrière celle-ci.

" Comme je te l'ai dit mon prénom est Mio, mais mon nom vient du fait, que j'ai été retrouver un jour de tempète. Un des orphelin de l'époque m'a appellé "la fille de l'ouragan" d'où le nom de Nowaki. Depuis c'est rester et c'est devenu mon nom."

Elle se gratta derrière la tête comme l'enfant qu'elle était. Elle n'aimait jamais annoner aux autres qu'elle était orpheline. dés l'instant où is l'apprenait leur comportement changeait du tout au tout. Mais son véritable problèm n'était pas cela.

"En réalité depuis mon enfance, je vis sur la colline sud, dans l'orphelinat dirigeé par le père Dusk. Bon nombre de personnes sont venus pour m'adopter mais repartait toujours chez eux sans moi. Tous sauf eux. J'ai eu l'impression de vivre dans un rève durant cette année bénite, malgrè leur étrange réaction à chaque fois que je me blessais.Trop aveuglée par mon bonheur je n'ai pas compris pourquoi ils m'ont renvoyer à l'orphelinat. Je leur en voulais oujours lorsqu'ils me sont réapparus."

Mio se prit la tête dans ses mains. Alait-elle arrèter de tourner autour du pot et le dire à son ami? Ou continuerait-elle ce jeu encore longtemps?Ell prit une grande bouffée d'air et reprit son discour des plus barbant, elle en était conciente mais n'arrivait pas à accéder à la vérité.

"Pour faire bref, j'ai accepté cette différence parceque....... je sais ce que ça fait d'être exclu de la société, puisque je ne suis pas uniquement orpheline. En effet j'ai........ Pendant que j'y pense pourrais-tu appeler l'orphelinat pour prévenir que je suis ici? Ils doivent s'inquiéter de ne pas avoir de mes nouvelles."

Elle se mordit machinalement sa lèvre inférieure. Elle était tiraillée entre deux sentiments, la consternation et le soulagement. La consternation parce les mots n'avaient pas réussi à franchir ses lèvres et le soulagement pour la même raison et aussi parcequ'elle avait réussit à aborder ce sujet plus qu'épineux pour elle.